Sobriété : agir pour la fin du mois et l’avenir de notre planète

Sobriété est, sans conteste, le mot de la rentrée. Crise énergétique, flambée du prix des matières premières, changement climatique… tout appelle à accélérer la priorisation de nos besoins et à adapter nos usages avec bon sens pour préserver les ressources naturelles.  Il nous faut, sans attendre, aller encore plus loin que l’économie circulaire pour adopter des modes de vie plus sobres.

Sobriété est, sans conteste, le mot de la rentrée. Crise énergétique, flambée du prix des matières premières, changement climatique… tout appelle à accélérer la priorisation de nos besoins et à adapter nos usages avec bon sens pour préserver les ressources naturelles.  Il nous faut, sans attendre, aller encore plus loin que l’économie circulaire pour adopter des modes de vie plus sobres. C’est un impératif économique, pour protéger le pouvoir d’achat des ménages et la pérennité des entreprises. Mais c’est aussi une urgence écologique pour notre avenir commun sur une planète aux ressources limitées.

Dans les services publics locaux, la question fondamentale de la sobriété doit faire de l’usager- citoyen un acteur clé des choix pour changer les comportements. Car si la sobriété passe par des investissements ou des technologies, elle requiert avant tout une ardente obligation : que les usagers aient une démarche volontaire pour modifier leurs habitudes.

Les entreprises opératrices de service public, parce qu’elles sont au cœur des enjeux de protection ou économie des ressources, sont, de longue date, engagées dans ces actions. Cette sobriété nécessite parfois de réviser leurs modèles économiques historiques et bouleverse la gestion publique comme privée des services. Elle rend indispensable une pédagogie renouvelée en direction de l’usager-citoyen. Nous illustrons ici par quelques exemples les enjeux autour de la sobriété dans les services publics locaux et les réponses que nos entreprises construisent.

Par Olivier Grunberg, président de l’UNSPIC

Actualités

DOSSIER (2023). Commande publique responsable : enjeux et retours d'expériences dans les SPICs

En matière de commande publique, les contrats passés par les collectivités locales avec des opérateurs pour la gestion des services publics industriels et commerciaux (SPIC) sont des vecteurs particulièrement efficients pour mettre en œuvre des objectifs sociaux et environnementaux qui vont bien au-delà du service public rendu et profitent aux territoires. Retours d'expérience croisés collectivités locales/opérateurs

Publications

Livre blanc 2022. Associons le meilleur du public et du privé

La crise sanitaire que nous connaissons depuis 2020 a bouleversé la vie quotidienne des Français. Elle a challengé la gestion de nos services publics, accentuant les questionnements sur leur résilience et leur avenir. La période que nous vivons constitue, de manière plus générale, une opportunité pour réévaluer l’utilité de nos services publics, leur valeur, l’adaptation entre les objectifs qui leur sont assignés et les moyens qui leur sont accordés.

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